Jeanne le ber. un itinéraire
Par : Thérèse Simard
Collection : Essai
Editeur : Les Éditions Novalis
Numéro de produit : 9782896880942
ISBN : 9782896880942
17,99 $
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Jeanne Le Ber est de la première génération d'origine française née à Ville-Marie. Née en janvier 1662, elle aura comme parrain Paul Chomedey de Maisonneuve et Jeanne Mance comme marraine. À 18 ans, ses parents l'autorisent à vivre en recluse dans la maison familiale. À 33 ans, elle s'isole davantage : le 5 août 1695, elle se retire dans la maison de la Congrégation de Notre-Dame où Marguerite Bourgeoys et ses soeurs l'accueillent avec grande joie. Entre ses heures d'adoration et de repos, sans cesser de prier, elle coud et brode linges et ornements liturgiques et confectionne des vêtements pour les pauvres. Elle meurt à 52 ans, le 3 octobre 1714.
Cet ouvrage s'intéresse à la signification théologique qui émane des broderies de Jeanne Le Ber, plus particulièrement des pièces de vêtements liturgiques et d'ornements d'autel, brodées de fil d'or, d'argent et de vives couleurs, qui reflètent sa vie intense de contemplation ainsi que sa vénération des beautés de la nature et des réalisations de Dieu. Leurs motifs sont autant de signes permettant de reconnaître ce qui est important pour elle, ils apparaissent comme des symboles qui disent sa foi. Ainsi, les thèmes (fleurs, colombe, agneau, croix), les couleurs, les reliefs, la variété des fils (laine, soie, or et argent) et le très grand nombre de points différents dans une même oeuvre sont autant de canevas pour déployer l'expression de sa spiritualité.Jeanne Le Ber est de la première génération d'origine française née à Ville-Marie. Née en janvier 1662, elle aura comme parrain Paul Chomedey de Maisonneuve et Jeanne Mance comme marraine. À 18 ans, ses parents l'autorisent à vivre en recluse dans la maison familiale. À 33 ans, elle s'isole davantage : le 5 août 1695, elle se retire dans la maison de la Congrégation de Notre-Dame où Marguerite Bourgeoys et ses soeurs l'accueillent avec grande joie. Entre ses heures d'adoration et de repos, sans cesser de prier, elle coud et brode linges et ornements liturgiques et confectionne des vêtements pour les pauvres. Elle meurt à 52 ans, le 3 octobre 1714.
Cet ouvrage s'intéresse à la signification théologique qui émane des broderies de Jeanne Le Ber, plus particulièrement des pièces de vêtements liturgiques et d'ornements d'autel, brodées de fil d'or, d'argent et de vives couleurs, qui reflètent sa vie intense de contemplation ainsi que sa vénération des beautés de la nature et des réalisations de Dieu. Leurs motifs sont autant de signes permettant de reconnaître ce qui est important pour elle, ils apparaissent comme des symboles qui disent sa foi. Ainsi, les thèmes (fleurs, colombe, agneau, croix), les couleurs, les reliefs, la variété des fils (laine, soie, or et argent) et le très grand nombre de points différents dans une même oeuvre sont autant de canevas pour déployer l'expression de sa spiritualité.