Sur les petits métiers de la rue et de la débrouille au congo-brazzaville
Par : Jean-Alexis Mfoutou
Collection : Études africaines
Editeur : Editions L'Harmattan
Numéro de produit : 9782140492631
ISBN : 9782140492631
20,43 $
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Les petits métiers de la rue et de la débrouille sont devenus un fait social, démographique, culturel et politique congolais indéniable.
Quelques activités sont ici significatives : bana bilongo, bana brouette, bana mayi, bana vernis, bordelle, boy-chauffeur, changeur, chargeur, cireur, colleur de roues, échangiste, enseignant volontaire, féticheur, koro-koro, Londonnienne, marchand d'eau glacée, michelin, mongando, nzété-nzété, parkinguier, phaseur, porteur, pousse-pousseur, prostituée fixe, prostituée mobile, putaine, récolteur de vin de palme, trottoire, Z, Zaïroise, etc.
Ces mots suggèrent que l'aventure de celles et ceux qui s'adonnent aux petits métiers de la rue et de la débrouille n'est pas une marche au hasard, mais une quête dans la précarité, avec les difficultés, les espoirs et les désespoirs d'un « plus ».
Cela invite à regarder la société et à l'interroger. Que faire devant la misère ? L'auteur montre précisément comment les Congolais tentent de répondre à cette question aigüe.
Quelques activités sont ici significatives : bana bilongo, bana brouette, bana mayi, bana vernis, bordelle, boy-chauffeur, changeur, chargeur, cireur, colleur de roues, échangiste, enseignant volontaire, féticheur, koro-koro, Londonnienne, marchand d'eau glacée, michelin, mongando, nzété-nzété, parkinguier, phaseur, porteur, pousse-pousseur, prostituée fixe, prostituée mobile, putaine, récolteur de vin de palme, trottoire, Z, Zaïroise, etc.
Ces mots suggèrent que l'aventure de celles et ceux qui s'adonnent aux petits métiers de la rue et de la débrouille n'est pas une marche au hasard, mais une quête dans la précarité, avec les difficultés, les espoirs et les désespoirs d'un « plus ».
Cela invite à regarder la société et à l'interroger. Que faire devant la misère ? L'auteur montre précisément comment les Congolais tentent de répondre à cette question aigüe.