La communication internationale dans l'univers global des sciences sociales
Les livres numériques seront disponibles pour télécharger dès votre paiement effectué.
* Prix en dollar canadien. Taxes et livraison en sus.
Retour à la liste des produits
Comment la communication internationale peut revendiquer une place de choix dans l'univers global des sciences sociales? Dans quelle mesure et jusqu'à quel point les objets qu'elle aborde, les enjeux sociétaux qu'elle adresse, interpellent-ils toutes les disciplines des sciences sociales? Comment démontrer sans effort son rattachement à la trajectoire historique que suivent les sciences sociales? Ce faisant, se verrait-elle dans l'obligation de devoir fixer un champ de délimitation dans l'univers global des sciences sociales? Comment harmoniser toutes les diversités discursives sur la communication internationale et rendre plus aisée la compréhension de cette matière pour tous ceux qui, principalement, enseignants, chercheurs et étudiants s'intéressent à cette sous-discipline ? Tâche herculéenne et mission quasi impossible ! Pourtant, c'est le défi que propose de relever cet ouvrage marqué par le souci de la clarté pédagogique et qui démontre, du début à la fin, qu'on ne peut nullement lier le qualificatif "internationale" au terme "communication", sans problématiser. À travers neuf chapitres, traitant chacun, profondément, d'objets divers mais logiquement articulés, pointe aussi un parti-pris épistémique pour la méthode de l'interdisciplinarité que l'auteur ne s'emploie pas seulement à rappeler, mais dont il explique les fondements scientifiques. Au bout de l'ouvrage, s'amorce un dialogue inédit sur le déséquilibre mondial de l'information avec l'ancien Directeur Général de l'UNESCO, Amadou Mahtar Mbow, initiateur de la commission internationale sur les problèmes de la communication. Les débats sur le NOMIC (nouvel ordre mondial de l'information et de la communication) sont souvent relatés par des sources secondaires aux interprétations parfois contradictoires. Quoi de mieux, pour rendre service à la vérité scientifique, que d'interroger la source directe ?