Théories et nature du son dans l'antiquité grecque
Par : François Baskevitch
Collection : Ouverture philosophique
Editeur : Editions L'Harmattan
Numéro de produit : 9782336454764
ISBN : 9782336454764
29,19 $
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Jusqu'au IVe siècle avant l'ère commune, la littérature grecque décrit les sons et les nomme en créant un vocabulaire abondant et souvent expressif. Des philosophes de la nature et quelques
anatomistes s'intéressent à l'ouïe et parfois à son objet : le son. Avec Aristote (mort en -324), les savants tentent de comprendre comment le son se produit, comment il se propage, s'il se réfléchit comme la lumière... Ils écrivent que le son est produit par un choc, puis s'interrogent : le son est-il corporel, subit-il un déplacement ? Pour les atomistes, c'est un flux de corpuscules, pour les stoïciens, le son se propage comme les ronds dans l'eau. Mais comment expliquer le grave et l'aigu ? Et l'écho ?
Les philosophes grecs, qui tentaient de comprendre les phénomènes naturels et leurs causes, éprouvent des difficultés à aborder cette entité si commune et pourtant impalpable et fugitive.
anatomistes s'intéressent à l'ouïe et parfois à son objet : le son. Avec Aristote (mort en -324), les savants tentent de comprendre comment le son se produit, comment il se propage, s'il se réfléchit comme la lumière... Ils écrivent que le son est produit par un choc, puis s'interrogent : le son est-il corporel, subit-il un déplacement ? Pour les atomistes, c'est un flux de corpuscules, pour les stoïciens, le son se propage comme les ronds dans l'eau. Mais comment expliquer le grave et l'aigu ? Et l'écho ?
Les philosophes grecs, qui tentaient de comprendre les phénomènes naturels et leurs causes, éprouvent des difficultés à aborder cette entité si commune et pourtant impalpable et fugitive.