La mélodie de gabriel et dorian
Par : Bianca Nederlof
Collection : Tirelire
Editeur : Erasme
Numéro de produit : 9782874382635
ISBN : 9782874382635
5,99 $
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Retour à la liste des produitsAge : 8-10 ans - Niveau de lecture : CM1 - CM2
Dans le pays de Gabriel et Dorian, tout le monde aime la musique et la danse. Surtout la toute jeune princesse ! Mais le roi préfère faire la guerre. Et quand la Grande Guerre se termine enfin, le roi prend une terrible décision : la musique est bannie. Il est à présent interdit de jouer d'un instrument, de chanter et de danser. Il faut travailler dur pour reconstruire le pays, il n'y a plus de temps pour l'amusement.
Gabriel et Dorian cachent leurs instruments en espérant qu'un jour, ils pourront à nouveau les utiliser...
Un mini-roman plein d'émotions !
Partager un moment de complicité avec votre enfant tous les soirs avec les histoires de TireLire, des petits livres pour découvrir le plaisir de la lecture.
EXTRAIT :
Cette histoire commence par une belle journée : celle où une princesse vit le jour, dans un pays très, très lointain. Si lointain, que tu n'en as sûrement jamais entendu parler. Les gens de ce pays étaient très heureux. Ils décidèrent que, désormais, ils célébreraient chaque année la Fête de la princesse. De magnifiques guirlandes coloraient alors le pays tout entier, jusque dans le village où vivaient les frères Gabriel et Dorian. On y jouait de drôles
de jeux, comme le lancer d'oeufs, qui pouvait s'avérer très salissant. Mais personne ne trouvait ça grave. Il y avait encore beaucoup d'autres chouettes activités et l'on jouait et écoutait de la musique un peu partout. On chantait et on dansait. Gabriel soufflait toute la journée dans son harmonica. Dorian, lui, avait une flûte à bec. Ensemble, ils jouaient les airs les plus joyeux. Tout le monde aimait les écouter.
Malheureusement, après quelques années, la tradition prit fin. Pas parce que les gens n'étaient plus contents : c'était toujours l'anniversaire de la princesse, ce que tout le monde trouvait formidable ! Mais plus personne n'avait le coeur à la fête.
À cause de la guerre.