Tangence. no. 130, 2022
6,99 $
Les livres numériques seront disponibles pour télécharger dès votre paiement effectué.
* Prix en dollar canadien. Taxes et livraison en sus.
Retour à la liste des produits
Le dossier de ce numéro de la revue Tangence, dirigé par Karine Gendron et Maïté Snauwaert, porte sur la façon de raconter la mort dans les arts narratifs contemporains. L'article de Frédéric Weinmann a pour objet d'études trois romans revenant sur un conflit historique dans la perspective d'un narrateur mort. Karine Gendron, elle, se penche sur trois romans québécois contemporains racontés à la première personne par un enfant-narrateur décédé, figure singulière que l'article cherche à approfondir. Ensuite, l'article d'Isabella Huberman analyse la représentation des spectres de l'hydro dans une œuvre d'art public, Iiyiyiu-Iinuu de l'artiste cri Tim Whiskeychan, et une œuvre littéraire, Ourse bleue de l'écrivaine métisse crie Virginia Pésémapéo Bordeleau en s'attardant à la question de la relation avec les morts. Après, Aileen Ruane explore les personnifications de la Mort dans les pièces de deux autrices féministes : Woman and Scarecrow (2006) de la dramaturge irlandaise Marina Carr et La vie utile de la dramaturge québécoise Évelyne de la Chenelière (2019). Enfin, Catherine Parent étudie Le Journal de Marie Uguay et l'expérience intime que vit l'écrivaine alors que la mort promise par la maladie permet l'émergence d'un rapport à soi transformé.