Kaboul beauté institut
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C'est un lieu invisible, que l'on ne peut deviner de la rue où il se trouve : d'épais rideaux noirs en occultent les vitres. La lumière du jour n'y entre pas. Aucune enseigne ne signale l'endroit. Et personne ne pourrait imaginer ce qui s'y trame, à l'abri des regards indiscrets – et inquisiteurs.
Mais, une fois à l'intérieur, l'ambiance qui y règne tranche singulièrement avec la sombre atmosphère d'une ville – et d'un pays tout entier – placée sous le joug d'un pouvoir religieux obscurantiste aux lois iniques.
Car ici, dans l'un des derniers salons de beauté de Kaboul, Sofia a reçu le plus discrètement possible ses clientes pendant des mois. Ces femmes, considérées par les autorités religieuses comme des êtres inférieurs, se sont offert l'impossible : tomber le voile, assumer leur féminité entravée, se maquiller, se faire belles. Mais aussi danser, chanter, et rire malgré les larmes d'une vie broyée.
Tel est le miracle du salon de Sofia, jeune esthéticienne de 24 ans qui, pendant des mois, a bravé l'interdit à ses risques et périls : quelques heures de rêve au milieu d'un cauchemar sans fin. Un bout de paradis au cœur de l'enfer. Car laisser les femmes vivre leur féminité est une liberté inconcevable pour le pouvoir en place et qui coûte cher... Un interdit immédiatement sanctionné de la manière la plus violente qui soit : de la prison à la peine de mort.
Que reste-t-il de la vie des femmes de Kaboul ? C'est par la voix de Sofia que s'expriment celles dont on gomme aujourd'hui l'existence, dont on nie les droits et que l'on relègue au rang d'accessoires sans âme. Entre ces pages inédites subsiste un chant d'amour et de sensualité.
Une faible lumière qui brille encore dans l'obscurantisme.
Mais, une fois à l'intérieur, l'ambiance qui y règne tranche singulièrement avec la sombre atmosphère d'une ville – et d'un pays tout entier – placée sous le joug d'un pouvoir religieux obscurantiste aux lois iniques.
Car ici, dans l'un des derniers salons de beauté de Kaboul, Sofia a reçu le plus discrètement possible ses clientes pendant des mois. Ces femmes, considérées par les autorités religieuses comme des êtres inférieurs, se sont offert l'impossible : tomber le voile, assumer leur féminité entravée, se maquiller, se faire belles. Mais aussi danser, chanter, et rire malgré les larmes d'une vie broyée.
Tel est le miracle du salon de Sofia, jeune esthéticienne de 24 ans qui, pendant des mois, a bravé l'interdit à ses risques et périls : quelques heures de rêve au milieu d'un cauchemar sans fin. Un bout de paradis au cœur de l'enfer. Car laisser les femmes vivre leur féminité est une liberté inconcevable pour le pouvoir en place et qui coûte cher... Un interdit immédiatement sanctionné de la manière la plus violente qui soit : de la prison à la peine de mort.
Que reste-t-il de la vie des femmes de Kaboul ? C'est par la voix de Sofia que s'expriment celles dont on gomme aujourd'hui l'existence, dont on nie les droits et que l'on relègue au rang d'accessoires sans âme. Entre ces pages inédites subsiste un chant d'amour et de sensualité.
Une faible lumière qui brille encore dans l'obscurantisme.