Jusqu'à la moelle
Disponibilité : En ligne (pour inventaire en magasin contactez-nous)
Livraison : Livraison dans 10 à 12 jours ouvrables, si disponible chez l’éditeur.
* Prix en dollar canadien. Taxes et livraison en sus.
Retour à la liste des produits
Par une fraîche journée printanière, une jeune femme est retrouvée prisonnière des glaces dans la baie de Dundurn, les chevilles lestées par une ancre, la nuque brisée. Le corps, qui a passé l'hiver à l'abri des coyotes et des poissons d'eaux profondes, est remarquablement préservé. Et rien – ni tatouage ni piercing – ne permet de l'identifier.
Le lendemain, dans un parc de la ville où il vient de se réveiller, un sans-abri aperçoit au loin ce qui ressemble à un énorme paquet argenté. En s'approchant, il comprend qu'il s'agit en réalité d'un homme enveloppé de la tête aux pieds par une épaisse couche de ruban adhésif. Ce qu'il ignore, tout comme les services d'urgence qui ne tardent pas à arriver, c'est qu'une grenade dissimulée sous les liens du captif s'apprête à exploser à la première secousse.
Dans ce troisième tome de sa série à succès, Scott Thornley nous présente un MacNeice plus vulnérable que jamais. Bouleversé par la situation d'un adolescent qu'un des meurtres a laissé orphelin, tiraillé entre le souvenir de son épouse et le désir qu'il éprouve pour une inconnue, il devra mettre ses sentiments de côté pour résoudre ces deux crimes sans liens apparents. Entre les bars glauques de la marina, peuplés d'immigrants irlandais fraîchement débarqués qui fricotent au grand jour avec la pègre locale, et les couloirs d'une école sans histoire où les seules détonations sont celles des ballons de basket sur le parquet, l'inspecteur apprendra à ses dépens qu'une atrocité en cache parfois une plus horrible encore et que personne, pas même lui, n'est à l'abri d'une erreur.
« Une série policière extraordinaire [...]. La ville de Dundurn est magnifiquement saisie dans toute sa beauté et son abjection alors que MacNeice se met en quête d'un tueur qui a un message à faire passer. Ceux et celles friands de chasses aux indices vont adorer. »
-- The Globe and Mail