Rien n'est trop beau pour les gens ordinaires
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Voici Berthold Sidebottom. La quarantaine avancée, acteur passionné par Shakespeare incapable de trouver un rôle à sa mesure. Il n'est pas George Clooney. Divorcé, endeuillé, il s'est réfugié chez sa mère dans un HLM au nord de Londres. Les années passent, puis maman meurt. Craignant d'être mis à la rue par Mrs. Penny, gestionnaire du logement social, il recrute la vieille Inna pour incarner la défunte.
Voici Violet. La vingtaine optimiste. D'origine kennyane, elle a grandi en Angleterre et vient de décrocher le travail idéal, mais elle a perdu ses illusions : la finance a décidément l'éthique légère. À la recherche d'un emploi, elle ne trouve que des manigances louches.
Il y a aussi dans Rien n'est trop beau pour les gens ordinaires des gens qui parlent russe, roumain, swahili ou la langue des affaires, un perroquet et un pigeon à une patte.
Voici la plus récente comédie de moeurs, bien entendu hautement vitaminée, de Marina Lewycka (Une brève histoire du tracteur en Ukraine) qui sait si habilement, sous le vernis de l'humour, dissimuler une bonne dose de critique sociale.
Traduit de l'anglais par Sabine Porte