Faut pas pleurer pour ça
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Minou Petrowski a 82 ans et revendique le droit de vivre encore pleinement malgré son «grand âge»; elle veut encore apporter sa contribution en travaillant, aimer et être aimée.Son roman d'autofiction met en scène une femme qui lui ressemble, Laura, qui vient de publier son autobiographie et retourne à Paris quelques jours pour le lancement de son livre à la Librairie du Québec. Là, elle évoque des souvenirs de jeunesse, qui se mêlent à des fantasmes et à des récits de fictions, des films et des romans. La frontière est mince entre les différents registres, mais tous sont d'une impudeur et d'une gravité qui ne laisseront personne indifférent. Dans la deuxième partie, de retour à Montréal, Laura passe d'un plateau de tournage à l'autre pour faire de la figuration, en même temps qu'elle se fourvoie dans une pseudo-relation malsaine et sans issue. Là encore, souvenirs, fictions cinématographiques et lectures se mêlent à son récit. Dans la dernière partie, Laura, qui revendiquait le droit de tenir le premier rôle dans sa vie jusqu'à la fin, l'obtient au cinéma ; elle est engagée pour jouer le personnage principal d'un court-métrage. Les cartes sont alors définitivement brouillées: voit-on Laura en train de jouer ou Trinité en train de mourir? C'est un des charmes de ce roman.