L'insoutenable dette publique de la france
Par : Bernard Meunier
Collection : L'esprit économique
Editeur : Editions L'Harmattan
Numéro de produit : 9782336458304
ISBN : 9782336458304
14,59 $
Les livres numériques seront disponibles pour télécharger dès votre paiement effectué.
* Prix en dollar canadien. Taxes et livraison en sus.
Retour à la liste des produits
Au milieu des années 2020, la France a passé le cap des 3?100 milliards d'euros de dette, soit plus de 110 % de son PIB. Pour la première fois dans son histoire, la France a accumulé en temps de paix un niveau de dette de temps de guerre.
Cette dette accumulée sur plus de quarante années représente plus de 114?000 kilomètres de lignes ferroviaires à grande vitesse, soit 2,8 fois le tour de la terre?! La dette a-t-elle servi à faire des investissements utiles aux générations futures?? Non, la France s'est endettée pour payer ses dépenses courantes, pour mener un train de vie au-dessus de ses ressources.
Avec une industrie en attrition et une agriculture en déclin, faute de jeunes, nous devons nous réveiller et faire de la réduction de nos déficits une priorité absolue. Faute d'action volontaire, nous n'aurons que le choix de terminer comme l'Argentine ou la Grèce.
Ce regard sur la dette n'est pas celui d'un économiste ou d'un financier, mais celui d'un scientifique qui estime que l'emballement de la dette, comme celle d'une réaction chimique hors contrôle, se termine toujours mal. Il est encore temps d'agir avant que les marchés financiers lâchent la France.
Cette dette accumulée sur plus de quarante années représente plus de 114?000 kilomètres de lignes ferroviaires à grande vitesse, soit 2,8 fois le tour de la terre?! La dette a-t-elle servi à faire des investissements utiles aux générations futures?? Non, la France s'est endettée pour payer ses dépenses courantes, pour mener un train de vie au-dessus de ses ressources.
Avec une industrie en attrition et une agriculture en déclin, faute de jeunes, nous devons nous réveiller et faire de la réduction de nos déficits une priorité absolue. Faute d'action volontaire, nous n'aurons que le choix de terminer comme l'Argentine ou la Grèce.
Ce regard sur la dette n'est pas celui d'un économiste ou d'un financier, mais celui d'un scientifique qui estime que l'emballement de la dette, comme celle d'une réaction chimique hors contrôle, se termine toujours mal. Il est encore temps d'agir avant que les marchés financiers lâchent la France.